Nos luttes écologistes sont internationales
Alors que la pénurie d’eau affecte 40% de la population mondiale et que les scénarios climatiques sont des plus en plus pessimistes, les peuples luttent pour défendre le vivant. Face à ces luttes, nous assistons partout au renforcement de la répression de celles et ceux qui s’opposent aux destructions capitalistes et ses projets meurtriers. La diversité de ces répressions dévoile le caractère inégal des défis : l’ampleur des violences subies par des populations au Sud, les luttes des peuples autochtones pour leur survie, les enjeux de la dette coloniale ou encore les responsabilités différentiées des pays dans le réchauffement climatique en sont des éléments. Cette plénière cherchera à creuser les enjeux communs à ces luttes, tout en questionnant la nécessité de la création d’espaces internationaux décolonisés et qui donnent aux premier·es impacté·es la centralité stratégique.
Porteurs d'activités
Intervenant⋅e⋅s
Intervenant·es : un·e représentant·e de Bassines non merci (France) - Un·e représentant·e du Mouvement des Personnes atteintes par les barrages (Brésil)- Abu Amir, directeur de la pépinière solidaire de Khuza’a (Palestine - sous-réserve) Mario Alberto Castillo Quintero, membre de l’Assemblée des peuples autochtones de l’isthme pour la défense de la terre et du territoire (APIIDTT) et du Congrès national indigène (CNI) (Mexique)
Grands témoins / débatteur·es : Dr Diana Ruiz Pino et Nicolas Roux